Rien de tel pour se retrouver avec un cœur plus léger au moment des fêtes de fin d’année !

La musique truculente de Jacques Offenbach incarne mieux que toute autre la fête qui battait son plein à Paris au milieu du XIXème siècle : elle symbolise l’ivresse qui fait de Paris une ville d’allégresse, de spectacle et de lumière.

Dans ce programme composé d’airs et de duos, on retrouve les pages fameuses de ses meilleurs opéras : « La Périchole », « La Grande Duchesse de Géroldstein », « La Vie parisienne » … Tout le monde connait ces mélodies rebondissantes, virtuoses et pleines d’humour.

Au moment où Richard Wagner fascine l’Europe par des opéras légendaires et philosophiques, Offenbach agit comme un antidote à cette musique dramatique en assumant la légèreté comme l’un des traits de la culture française.

En 1876, Albert Wolf (l’un des critiques parisiens de l’époque) note à propos de la musique de Jacques Offenbach « qu’il y a de tout dans son inépuisable répertoire : l’entrain qui soulève une salle, les gros éclats de rire qui plaisent aux uns, l’esprit parisien qui charme les autres et la note tendre qui plait à tous, parce qu’elle vient du cœur et va droit à l’âme ».

 

Musique Jacques Offenbach / Extraits de « La Périchole », « La Grande-Duchesse de Gérolstein », « La Vie Parisienne », etc… / Direction Karen Kamensek / Avec l’Orchestre National d’Île-de-France / Avec Anaïck Morel (soprano) et Loïc Félix (ténor)