L'âme russe - Orchestre National d'Île-de-France

Lyrisme, rythme et contrastes pour un concert étincelant.

Né au Japon, formé aux États-Unis et perfectionné auprès du prestigieux maître finlandais de la direction Jorma Panula, le chef d’orchestre Eugene Tzigane fait partie des rares chefs à privilégier les invitations à travers le monde plutôt que d’être attaché à un orchestre en particulier. Son ouverture et son talent lui permettent aujourd’hui de parcourir la planète à la tête des orchestres les plus réputés.

Dans le répertoire russe, il fait flamboyer l’Orchestre National d’Île-de-France de toutes ses couleurs. Et la Cinquième Symphonie (1888) de Tchaïkovski est précisément une œuvre brillante et étincelante, inspirée de splendides mélodies populaires traditionnelles.

Le jeune pianiste belge Florian Noack s’est fait remarquer avant l’âge de trente ans pour ses propres transcriptions au piano du répertoire orchestral russe. Le Troisième concerto (1921) de Prokofiev semble taillé sur mesure pour lui car son interprétation s’appuie sur une virtuosité éblouissante et sans faille, tout en laissant place à une véritable dimension poétique.

Programme :

Concerto pour piano n°3 en ut majeur op 26 de Serge Prokofiev

Symphonie n°5 en mi mineur op 64 de Piotr Ilitch Tchaïkovski

Direction Eugene Tzigane / Piano Florian Noack / Par l’Orchestre National d’Île-de-France


Crédits photos : © Eric Garault / Florian Noack, soliste © Danilo Floreani